174. Protection minimale

Ah, les beaux jours qui sont là ; le soleil qui est plus haut dans le ciel qu'au mois d'août ; la joie de pouvoir faire du deux-roues en t-shirt et ne pas mourir de froid ; l'inconscience assumée de risquer de perdre 80% de la surface de peau des bras en cas de chute à 90 km/h sur l'avenue du Chablais.
Mais attention, je garde les gants, même si ça dépareille son conducteur et que ça détonne avec la tenue légère (de toute façon, l'habillement n'est qu'une nécessité chez moi et aucun cas un besoin d'être agréable à regarder). Car comme le dit si bien mon frère :

Je mets toujours des gants : c'est pas pratique de signer un constat avec des petits cailloux dans les mains.